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Jeudi 6 mars à 19h30: Sujet : Reconversion de l’économie : utopie ou réalité
? avec Jacques Racine
L’économie néo-libérale mondialisée, avec son bras financier/bancaire au-dessus de toute loi, s’avance
inexorablement vers la marchandisation de l’être humain, le déni des cultures et des prérogatives des États. D’où la crise qui secoue le monde entier et notre quotidien. Peut-on en sortir ? Dans
son livre récent, Rebâtir l’avenir (2013, Mediaspaul), Jacques Racine trace un portrait lucide de ce monde économique et bancaire rongé par la cupidité de ses maîtres, et propose une voie de
sortie audacieuse.
Toutes les conférences des Grands Dossiers ont lieu au Centre, de 19h30 à 21h00. Il n'y a pas de
réservation.
Les conférences se terminent à 21h00.
Contribution suggérée de 10 $
Contact : Réal Martel 418-683-3597
Le Montmartre, 1679 chemin St Louis, Québec, www.lemontmartre.net
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Une émission prévu sur ce sujet à Radio Canada Lien: Ici
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Photo Hommage à un grand copain qui viens de partir pour l'autre dimmension. Cette homme aura contribuer à attirer l'attention sur l'existance du spirituel, sur le dossier OVNI ainsi que sur
celui de l'élite mafieuse qui a pris le contrôle de notre conscience collective et de nos gouvernements. Merci 777
Réflexion sur la mort et la souffrance: Il faut renoncer définitivement à trouver au mal et à la souffrance une explication, une
fonction, une finalité. Le mal n'est pas fait pour être compris mais pour être combattu.
On dit qu'au plan physique la douleur est un avertissement utile et qu'au plan spirituel surtout l'épreuve est purifiante. Peut-être n'est-ce pas complètement faux !
La souffrance peut engendrer un sursaut de courage, la faute elle-même peut engendrer un redressement. [...] Mais qu'est-ce que cela prouve ? Si la douleur est un avertissement, on peut
toujours demander avec Max Scheler : faut-il que ces signaux soient douloureux ? Pourquoi est-il nécessaire qu'ils fassent mal ? Il pourrait très bien y avoir des sonnettes d'alarme qui ne
fassent pas mal, il pourrait bien y avoir d'autre maître que la souffrance pour que l'homme devienne véritablement adulte.
Le mal est un non-sens, la souffrance est absurde. Impossible de leur trouver un sens, mais peuvent-ils prendre un sens ?
N'est-ce pas parce que nous sommes faits pour la joie, parce que notre vocation est le bonheur, que nous protestons contre le mal et la souffrance ? J'affirme que si notre vocation, qui est
gravée au coeur de notre conscience, n'était pas une vocation à la joie, notre indignation contre le mal et la souffrance ne serait pas ce qu'elle est.
Toute souffrance peut être comprise, c'est le sens que je peux lui donner, comme une mort partielle, une ébauche de mort. La souffrance est le pion avancé de la mort
tout au long de la vie. La mort est le passage de l'avoir à l'être ou de l'égoïsme à l'amour. Or, nous ne pouvons faire qu'en cette vie mortelle nous ne soyons des propriétaires, non pas
de biens matériels, mais de nous-mêmes. Pour être à Dieu, il ne faut pas être à soi. Pour ne plus être à soi, il faut être arraché à soi. Mais l'arrachement à soi est précisément ce que nous
appelons la souffrance.
« Si Dieu existait et si Dieu était amour, de telles choses n'arriveraient pas : la guerre, la torture, la maladie, l'épidémie, la trahison sentimentale, le deuil,
etc. » de tout temps, l'existence du mal a été invoquée comme argument contre l'existence de Dieu. Si le mal et la souffrance existent, il n'est pas possible que Dieu soit. On comprend
que, de tout temps aussi, les penseurs se soient employés à justifier Dieu, à l'innocenter, à essayer de montrer que Dieu ne pouvait pas faire autrement, comme s'il fallait plaider en faveur de
Dieu pour le déclarer innocent de tout le mal et de toute la souffrance qu'il y a dans le monde.
Dieu ne veut certainement pas le mal mais il le permet.
Au lieu de chercher à tout prix en Dieu la justification du mal, ne faut-il pas découvrir Dieu au sein même de notre protestation et de nos efforts pour supprimer le mal ou, au moins, le
surmonter ? « Dieu se manifeste dans la larme versée par l'enfant qui souffre et non dans l'ordre du monde qui justifierait cette larme » (Berdiaeff [Esclavage et liberté de l'homme]).
(Commentaire personnel: Suis-je le seul suffisamment humble pour admettre que j'ignore hors de tout doute l'existence d'un Dieu
pensant?) Lien source: ICI
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